Une séquence principalement construite à partir des compositions fixes mises en ligne en mai 2024. Chaque composition apparaît dans sa version complète pendant un vingt-quatrième de seconde.
Les instantanés marquant l’apparition des compositions fixes dans leur intégralité, parfois renversées ou en miroir, avec quelques différences de détail, notamment pour ce qui est de la luminosité.
premier mouvement :
deuxième mouvement :
troisième mouvement :
quatrième mouvement :
Retour à l’élément aquatique avec cette séquence presque exclusivement fondée sur des prises de vue réelles, vidéos ou photos : dans le désordre, le salar d’Uyuni, un caniveau de la rue Guynemer, la fontaine de la Place Saint-Sulpice, les bassins de l’aéroport de Doha, un lagon des Maldives, des ports du Golfe Persique, la digue du Sillon à Saint-Malo, les océans Atlantique et Pacifique.
Un instantané de la séquence, un extrait de vidéo en prise de vue réelle et une photo :
Trois instantanés de la séquence :
Une séquence obtenue par traitement numérique de prises de vue réelles. Le traitement des images permet d’en modifier l’aspect et de les fusionner. En revanche, il n’a pas été possible de réduire totalement les effets de l’instabilité de la caméra lors de la prise de vue.
premier mouvement : presque entièrement fondé sur des images de drones lumineux évoluant dans le ciel nocturne au dessus du port d’Abu Dhabi.
deuxième mouvement : aux images de drones s’ajoutent celles d’oiseaux évoluant au dessus du port de Mumbaï.
troisième mouvement : aux oiseaux, se substituent d’autres drones évoluant cette fois au dessus du lac de Lugano, ainsi que quelques autres extraits de prises de vue comportant des nuages de points.