Des rayons lumineux festifs et certains des dessins numériques mis en ligne en juin 2024 …
En quatre mouvements, on parcourt – à une vitesse plutôt soutenue – successivement un tunnel dans les Alpes ou sur l’autoroute A14, un pont à haubans à Mumbaï, la Dart River et une lagune en Nouvelle Zélande, des dunes dans le Golfe Persique … En route, on croise les phares des voitures sur l’autoroute A3, les lumières de l’aéroport de Roissy, des éoliennes et des nuages le long de l’autoroute A10 … et quelques dessins numériques ajoutés.
Les reflets du soleil ou des nuages, des taches de couleurs variées, des ombres portées apparaissent à la surface des eaux … A noter que les tons pastels des images de tout début et de toute fin du deuxième mouvement sont tels qu’ils résultent d’une prise de vue réelle à l’aube sur le Lake Huron aux Etats-Unis, sans traitement numérique particulier.
Retour à l’élément aquatique avec cette séquence presque exclusivement fondée sur des prises de vue réelles, vidéos ou photos : dans le désordre, le salar d’Uyuni, un caniveau de la rue Guynemer, la fontaine de la Place Saint-Sulpice, les bassins de l’aéroport de Doha, un lagon des Maldives, des ports du Golfe Persique, la digue du Sillon à Saint-Malo, les océans Atlantique et Pacifique.
Une séquence obtenue par traitement numérique de prises de vue réelles. Le traitement des images permet d’en modifier l’aspect et de les fusionner. En revanche, il n’a pas été possible de réduire totalement les effets de l’instabilité de la caméra lors de la prise de vue.
premier mouvement : presque entièrement fondé sur des images de drones lumineux évoluant dans le ciel nocturne au dessus du port d’Abu Dhabi.
deuxième mouvement : aux images de drones s’ajoutent celles d’oiseaux évoluant au dessus du port de Mumbaï.
troisième mouvement : aux oiseaux, se substituent d’autres drones évoluant cette fois au dessus du lac de Lugano, ainsi que quelques autres extraits de prises de vue comportant des nuages de points.